Les paraboles sont des histoires que Jésus racontait à la foule afin de mettre en image son enseignement, comme des exemples qui nous aident à comprendre les leçons.
Voici deux des ces histoires, qui nous parlent de l’amour de Dieu pour les hommes.

Jésus disait :
Le berger passe par la porte pour entrer dans l’enclos des moutons. Il connaît ses moutons, il les appelle chacun par leur nom, et les moutons écoutent sa voix. Il les fait sortir de l’enclos et marche devant eux, et les moutons le suivent parce qu’ils le connaissent et lui font confiance. Le bon berger prend soin de son troupeau et le protège.
Celui qui entre dans l’enclos des moutons sans passer par la porte, mais en escaladant le mur de l’enclos, est un brigand. Il ne vient que pour voler et pour détruire. Le bon berger passe par la porte et les moutons le suivent.
Celui qui ne travaille que pour de l’argent n’est pas vraiment le berger. Il s’enfuit quand il voit venir le loup et abandonne ses moutons. Le bon berger donne sa vie pour ses moutons.
Moi, je suis la porte. Ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs, des brigands ; mais les moutons ne les ont pas écoutés. Ceux qui entrent en passant par moi seront sauvés.
Moi, je suis le bon berger. Je connaît mes moutons et ils me connaissent, de même que le Père me connaît et que je connais le Père. Je donne ma vie pour mes moutons.

Jésus disait encore :
Si un berger possède cent moutons et qu’il perd l’un d’entre eux, il laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans leur pâturage pour partir à la recherche de celui qui est perdu, jusqu’à ce qu’il le retrouve.
Et quand il l’a retrouvé, il est tout heureux : il met le mouton sur ses épaules, il rentre chez lui, puis il appelle ses amis et ses voisins et leur dit : « Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé mon mouton, celui qui était perdu ! » Il ressent plus de joie pour ce mouton que pour les quatre-vingt-dix-neuf autres qui ne se sont pas égarés.
De même, votre Père qui est dans les cieux ne veut pas qu’un seul de ses petits se perde.